Je trimbale ma couenne sans cesse dans les rues de Pau. Je ne conçois pas de vivre loin d'un centre ville. J'y aime ses odeurs, sa lumière, son activité. Longtemps je n'ai pas su comment aborder les rues de ma ville d'adoption. Habitué à la lumière de Montpellier, je cherchais dans la mauvaise voie. Il faut aborder Pau sous sa forme poétique et non pas humaniste. Il faut se laisser guider non par sa lumière mais par sa douceur de vivre.